vendredi 21 octobre 2011

Un hypercentre congesionné


Sur le chemin, nous sommes surprises par les constructions illégales qui se cumulent dérrière la ligne du TGM.







Nous arrivons au centre ville par l'avenue Bourguiba, l'axe principal du centre ville de Tunis qui n'est autre qu'une prolongation de la rue zoutina, la rue qui relie Bab Bhar à la Kasbah.
Ce fut le premier axe tracé par les français à leur arrivée à Tunis et qui concentre jusqu'à aujourd'hui plusieurs bâtiment symboliques de cette époque : l'ambassade de France, la cathédrale Saint-Vincent-de-Paul de Tunis, le théâtre municipal emblématique de cette architecture art nouveau qui caractérise de nombreux bâtiments édifiés à cette époque.





Certains bâtiment ont été très bien conservés, d'autres restaurés par l'ASM, tel fut le cas du théâtre municipal, mais la plus part ont été squatté par des populations modestes après le départ des français et profiterons on l'espère de la bienveillance de la nouvelle association "Patrimoine 19-20" qui a vu le jour après la révolution. 


Le nombre de bâtiments délabrés est plus importants dans les zones proches de la Medina et de ses faubourgs, ces zones incertaines d'entre-deux ou la grille sanitaire de la ville nouvelle rencontre le tissu torturé de la Medina. 








Tunis est une ville très congestionnée, son réseau de métro en surface étant restreint (Lac nord, Aéroport, quartiers périphériques pas desservis), c'est le réseau du bus qui prend la relève.










 

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